J’ai notamment appris que mes troubles de l’attention et ma tendance à me disperser malgré moi étaient en lien avec ce qu’il m’arrivait : j’avais le sentiment de ne plus maîtriser ma vie et que tout m’échappait. Je me sentais débordée, enfermée dans une routine stressante, sans issue pour m’en sortir.

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C’est comme cela que je me suis intéressée au coaching.

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J’ai dû trouver des stratégies différentes que celles des personnes « typiques », d’autres stratégies, les stratégies standard n’ayant eu aucun effet probant sur moi.

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Il m’a fallu comprendre pourquoi j’en étais arrivée là, et les schémas répétitifs qui me conduisaient systématiquement à ce surmenage. Tout cela en composant avec mon impatience, mon impulsivité et mes émotions accrues. Mais j’étais enfin sur le chemin de l’acceptation.

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J’avais décidé d’entamer un processus de guérison de mes blessures d’enfance : le sentiment de me sentir différente, moins performante que les autres. À force de travail sur moi, j’entamais enfin la fin d’une période confuse et inextricable de ma vie…

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En témoigne mon ancien métier de formatrice, j’ai toujours eu le goût de la transmission et de l’élévation des autres. J’en avais assez de voir trop de femmes passer par les mêmes expériences douloureuses que moi, sans jamais recevoir d’aide adaptée. Il leur fallait avant tout être comprises, et non juste être « écoutées ». J’ai donc souhaité aider des femmes qui se reconnaissaient à travers mon parcours. Des femmes que l’on a souvent qualifiées d’être « trop » : trop calme, trop énergique, trop excessive, trop joyeuse, trop colérique, trop impulsive, trop « tout » ! Les histoires de mes coachés faisant écho à la mienne, ces alliances ont été très fortes pour moi. J’ai ainsi constaté combien je pouvais être utile auprès de celles qui m’entouraient…

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J’ai décidé de me mettre au service des femmes atypiques qui ont besoin de se sentir « alignées » avec ce qu’elles sont et leurs ressentis.